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7 марта 24, 03:40
Dmitry MetalLord
Лирика : Benighted : Psychose : Dgnrscence
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8 февраля 10, 21:58
Tout n'est que chaines et pierres
Un homme git terre, les murs ensanglants pour dernire demeure
Mise en silence imprvisible
Cellule obscure infeste par les rats
Sortant desmurs pour un prochain repas.
Longtemps, son me restera ainsi chercher
Dans le cercle de l'oubli cette porte vers la nuit endormie
Les effluves mortelles cesseront alors de s'couler
Telles le sang de la haine vomi par la vie.
Ni le soleil ni le trpas ne peut se regarder en face
Car cet homme, c'est moi.
C'est ici que j'attends la mort
Sans la dsirer ni la craindre
Cette mort enfin apprivoise, dgnrescence...
La lueur agressive, celle-l mme qui noie la pice, reste pourtant si absente
Les yeux brillants des rats fixent le corps patiemment attendant leur heure
Ils dtiennent le pouvoir de m'abaisser, de devenir moins qu'un animal
Le choix est imparti, impitoyable, dvorer ou tre dvor.
Je vois la mort
Elles se ceint les temps d'un laurier sanglant
Et ouvre ses bras, pour que rfugi en son sein, enfin la souffrance s'achve.
La peur au fond des yeux, peur de moi-mme, de ce que je suis
Hurlant devant mon corps, je crains de ne plus tre, de n'avoir jamais t
Peur de moi mme
Peur de ce que je suis
Peur de ne plus tre
De n'avoir jamais t
Vivant.
Avec mon sang, je lui dcris le monde inhumain dans lequel je vis
Avec mon sang, je lave les annes de souffrance perptuelle et inutile
Avec mon sang, je signe le pacte de l'oubli du pass et de la mortalit
La faucheuse est venue rendre le repos ke la vie a troubl.
Un homme git terre, les murs ensanglants pour dernire demeure
Mise en silence imprvisible
Cellule obscure infeste par les rats
Sortant desmurs pour un prochain repas.
Longtemps, son me restera ainsi chercher
Dans le cercle de l'oubli cette porte vers la nuit endormie
Les effluves mortelles cesseront alors de s'couler
Telles le sang de la haine vomi par la vie.
Ni le soleil ni le trpas ne peut se regarder en face
Car cet homme, c'est moi.
C'est ici que j'attends la mort
Sans la dsirer ni la craindre
Cette mort enfin apprivoise, dgnrescence...
La lueur agressive, celle-l mme qui noie la pice, reste pourtant si absente
Les yeux brillants des rats fixent le corps patiemment attendant leur heure
Ils dtiennent le pouvoir de m'abaisser, de devenir moins qu'un animal
Le choix est imparti, impitoyable, dvorer ou tre dvor.
Je vois la mort
Elles se ceint les temps d'un laurier sanglant
Et ouvre ses bras, pour que rfugi en son sein, enfin la souffrance s'achve.
La peur au fond des yeux, peur de moi-mme, de ce que je suis
Hurlant devant mon corps, je crains de ne plus tre, de n'avoir jamais t
Peur de moi mme
Peur de ce que je suis
Peur de ne plus tre
De n'avoir jamais t
Vivant.
Avec mon sang, je lui dcris le monde inhumain dans lequel je vis
Avec mon sang, je lave les annes de souffrance perptuelle et inutile
Avec mon sang, je signe le pacte de l'oubli du pass et de la mortalit
La faucheuse est venue rendre le repos ke la vie a troubl.
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